Pourquoi faire appel à une correctrice professionnelle alors qu’il existe des programmes de correction automatique ? Je ne compte plus le nombre de fois où l’on m’a posé cette question, à laquelle j’aime répondre par cet exemple :
– « Monsieur D. n’est pas mort comme on l’a dit ». A la lecture de cette phrase, on peut avoir un doute sur les circonstances de la mort de monsieur D. Aurait-il été assassiné ?
– « Monsieur D. n’est pas mort, comme on l’a dit ». Monsieur D. est vivant !
Il s’agit d’une simple virgule, et pourtant quel quiproquo !
Aucun programme de correction n’aurait corrigé cette ponctuation négligée. Heureusement, monsieur D. n’en a rien su…